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Histoire des anciennes voitures de collection et véhicules d'autrefois.

Des voitures de collection anciennes, classés par années de 1800 a 1959, les marques des constructeurs et les grands noms de l'automobile avec leur histoire, en images les automobiles de collection par marques et les non polluantes, recherche diverse sur les anciennes voitures de collection.
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Bugatti Phaeton Biplace 1931


Bugatti Type Phaeton Biplace 1931, moteur électrique 36 volts, 1,2 cv, autonomie de 100 km.


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BUGATTI Type 56 électrique, la voiture électrique du "Patron". De la voiture de course à quatre roues motrices à ta voiture-jouet pour enfant, Ettore Bugatti, esprit inventif explore toutes les directions. Le moteur électrique en est une. Qu'il exploite avec la Type 56, fiacre motorisé offrant des sensations pour le moins singulières...

La première expérience de Bugatti sur la voiture électrique est la Type 52. Modèle réduit des Type 35 de Grand Prix, la Type 52 est initialement un jouet pour le fils cadet d'Ettore Bugatti, Roland. La réalisation est tellement séduisante que Bugatti en construit une petite série pour la progéniture des têtes couronnées et des familles fortunées.

Fort de ce succès, Bugatti réédite l'expérience mais cette fois-ci à des fins "utilitaires". Il s'agit pour lui de réaliser un engin léger pour ses menus déplacements entre les murs de son usine et dans les rues de Molsheim. C'est la Type 56, exercice de style autant qu'automobile, à la fois simple, voire dépouillé, et terriblement ingénieux.

Rien que l'essentiel. Contrairement à la Type 52 qui devait ressembler à une vraie voiture, la Type 56 est libre de tout style. Pour un engin vraisemblablement créé autour de 1931, l'esthétique de l'auto déroute un peu. Bugatti est manifestement allé à l'essentiel : une carrosserie et des roues de calèche, une direction en queue de vache, une banquette pour deux personnes et c'est parti ! Cela dit, l'engin ne manque pas d'astuces. Le contraire, avec Bugatti, eut été étonnant. La commande de vitesse par exemple : à la base du long levier, une petite grille de verrouillage se soulève avec le pied droit pour libérer la commande. Cette commande fait également office de frein à main.

En position neutre, elle actionne un câble qui agit sur les tambours, uniquement disposés dans les roues arrière. Un autre câble, actionné lui par l'unique pédale du poste de commande, permet de ralentir le véhicule en marche. Continuons les présentations. Après être passé successivement de la position Neutre à la marche... arrière puis à la marche avant, nous voilà en devoir d'accélérer. C'est le rôle du second levier - encore plus long que le premier ! Cinq crans permettent d'obtenir différentes vitesses de déplacement. Comme Bugatti a pensé à tout il y a, au pied de la banquette, un petit contacteur d'éclairage.

C'est sous la banquette que demeure le coeur de l'engin : six batteries de 6 volts ! voilà, c'est tout pour le conducteur. Il ne nous reste plus qu'à faire un tour avec la bête... Rouler vite... à 30 km/h !

Certes, on n'est pas gêné pour monter à bord. Pas de porte ni de pavillon, encore moins de problème de recul de siège. Une fois passé le cap du dandinement de l'auto lorsqu'on s'appuie sur le marchepied, c'est la liberté totale. on en serait presque désoeuvré. L'histoire des Type 56 est encore mal connue. Le nombre d'exemplaires construits reste un mystère. D'après la séquence des plaques de châssis, on avance le nombre de six, peut-être même de dix autos produites. Quatre sont pour l'instant identifiées. Le premier exemplaire - n° 56101 - est conservé au musée de Mulhouse.

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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Bugatti ", France 1909 - ....

En 1881, naît Ettore Bugatti à Milan. Après l’école, il commence un apprentissage chez Prinetti & Stucchi, un fabricant de bicyclettes.

En 1898, Bugatti monte son premier véhicule à quatre roues pour Prinetti & Stucchi, la Type 1, comme on l’a appelée par la suite.

En 1901, la Bugatti Type 2 obtient une médaille à l’exposition automobile de Milan. Le baron de Dietrich, constructeur de véhicules de Niederbronn, en Alsace, est tellement enthousiasmé qu’il prend Ettore Bugatti sous contrat.

Entre 1902 et 1904, environ 100 automobiles des Types 3, 4 et 5 voient le jour sous le nom de Dietrich-Bugatti.

En 1904, pour Emil Mathis, Bugatti construit une voiture. Il s’agit du prototype pour la Type 6 et la Type 7.

En 1907, Bugatti s’installe à Cologne et produit pour la fabrique de moteurs à gaz Deutz des modèles quatre cylindres. En 1909, il fonde sa propre entreprise à Molsheim, en Alsace.

En 1909, Ettore Bugatti commence à construire des automobiles pour son propre compte.

Au salon automobile de 1910 à Paris, les « Bugatti » connaissent un vif succès.

De l’usine de Molsheim vont sortir au cours des 47 années qui suivent des véhicules équipés de moteurs quatre, huit et seize cylindres.

Son fils, Jean Bugatti (1909-1939) s’avérera lui aussi être un constructeur génial. Pour ce jeune homme à la fois sensible et déterminé, ce n’est pas une tâche aisée que de s’affirmer par rapport au père. Il n’a que 21 ans lorsqu’il commence à dessiner des carrosseries.

Le talent du jeune Jean est idéalement secondé par celui du dessinateur Joseph Walter. En 1939, la guerre met fin à la production de Molsheim.

Au cours des années qui précèdent et qui suivent la mort d’Ettore, survenue en 1947, ont lieu de timides tentatives de reprendre la production, mais en raison du décès prématuré de Jean, il manque à l’usine un dirigeant et, surtout, un esprit créatif.

En 1956, la tentative de come-back avec une voiture de course de Type 251 échoue. En tout, ce sont 7 950 Bugatti (de la Type 13 à la Type 101) qui auront quitté l’usine de Molsheim.

En 1991, le courtier en finances tyrolien Romano Artioli fait renaître la marque. À Modène (Italie), on construit l’EB 110, qui est alors la voiture de sport la plus rapide du monde (352 km/h).

En 1993 est montré pour la première fois au salon de Genève le prototype de recherche EB 112, une limousine avec un moteur douze cylindres de 6 litres et 460 chevaux.

En 1995, l’entreprise d’Artioli fait faillite. En quatre ans, 139 véhicules ont été construits.

En 1998 le groupe allemand Volkswagen AG rachète la marque Bugatti et demande au célèbre designer italien Giorgetto Giugiaro de la société Turinoise Italia Design de produire deux prototypes inspirés de la Bugatti EB 112.

En 2000 la société Bugatti Automobiles SAS, basée à Dorlisheim lance le projet de la Bugatti Veyron, moteur 16 cylindres en W, 1001 chevaux, 408.47 km/h, boite 7 rapports à commande séquentielle, pneumatiques de 20 pouces au prix de 1 000 000 euros hors taxes (soit 1 196 000 euros TTC).

En 2003 Thomas Bscher succède à Karl-Heinz Neumann à la tête de l'entreprise.




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